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La France réunit ses partenaires européens et arabes pour poser les bases d’une paix durable à Gaza, après le plan Trump.
La réunion parisienne du 9 octobre 2025 marque une nouvelle étape dans l’initiative franco-saoudienne lancée un an plus tôt. Paris cherche à consolider son rôle de médiateur entre partenaires occidentaux et arabes autour d’un horizon de paix crédible.
La France, en coopération étroite avec Washington, veut capitaliser sur les avancées obtenues à Charm el-Cheikh. Emmanuel Macron salue la convergence entre la diplomatie européenne, les États-Unis et les puissances régionales, notamment Riyad, sur la nécessité d’un cadre post-conflit.
Le président américain a surpris en fédérant un consensus autour d’un plan en deux phases : d’abord le cessez-le-feu, ensuite la reconstruction. La signature par toutes les parties le 9 octobre symbolise une volonté de stabilisation, bien que fragile.
Donald Trump, salué par Macron pour « une voie ambitieuse », a cherché à dépasser la logique d’affrontement en imposant une approche sécuritaire et diplomatique coordonnée. La Maison-Blanche mise sur la présence internationale à Gaza pour empêcher un retour du Hamas.
La priorité reste d’assurer une stabilité durable. Le plan américain prévoit une force multinationale de stabilisation soutenue par l’ONU. Paris plaide pour un périmètre clair, intégrant forces arabes et européennes, pour prévenir tout vide sécuritaire.
La question du désarmement du Hamas demeure centrale. Les discussions portent sur la formation et le soutien logistique d’une force palestinienne réformée. L’objectif : éviter une résurgence des milices armées et garantir la sécurité des populations civiles.
La reconstruction de Gaza représente un défi colossal. Selon les estimations de l’ONU, plus de 60 % des infrastructures ont été détruites depuis 2023. L’Union européenne, les États-Unis et les pays du Golfe promettent une aide coordonnée.
La France souhaite instaurer un mécanisme de suivi transparent, inspiré de la Déclaration de New York. L’enjeu est d’assurer une distribution équitable des fonds et d’éviter leur captation par des réseaux parallèles. Les ONG réclament un accès sécurisé aux zones sinistrées.
La question de la gouvernance transitoire divise. Le plan franco-américain propose un retour progressif de l’Autorité palestinienne à Gaza. Mahmoud Abbas a salué cette perspective, mais les défis politiques et sécuritaires restent immenses.
Certains partenaires arabes, notamment l’Égypte et la Jordanie, demandent un partage de compétences plus équilibré entre Ramallah et une administration intérimaire internationale. L’idée d’un mandat civil international sous supervision de l’ONU est également discutée.
Le cessez-le-feu et la libération des otages ouvrent une brèche d’espoir, mais la situation demeure précaire. L’équilibre entre ambitions politiques et réalités du terrain déterminera la réussite de ce « jour d’après ».
Paris mise sur une diplomatie patiente, en coordination avec Washington et Riyad, pour transformer les avancées symboliques en résultats concrets. Si ce plan réussit, il pourrait marquer le premier tournant durable du conflit israélo-palestinien depuis Oslo.
Le Monde. En direct : Gaza, Israël annonce que la version finale du plan Trump est signée par toutes les parties. 9 octobre 2025.
BFMTV. Gaza : Emmanuel Macron félicite Donald Trump, qui trace une voie ambitieuse au Proche-Orient. 9 octobre 2025.
20 Minutes. Guerre Israël-Hamas : accord de paix imminent, Macron salue un “espoir immense”. 9 octobre 2025.
Le Nouvel Observateur. « La reddition ou la mort » : ce qu’il reste du Hamas, deux ans après le 7 octobre. 9 octobre 2025.
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